Cancer du col de l’utérus : les causes

Les papillomavirus sont considérés comme étant des éléments nécessaires au développement du cancer du col utérin. Cependant, leur action ne suffit pas à provoquer la maladie.

En effet, ces virus provoquent rarement des lésions précancéreuses. Le cas peut se présenter pour une minorité de femmes, mais ce n’est pas une constante que l’on peut observer chez toutes les femmes porteuses de HPV. Il existe d’autres facteurs au développement du cancer du col de l’utérus.

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Le facteur papillomavirus

Ce cancer est une maladie sérieuse et douloureuse qui touche les femmes au plus profond de leur intimité. C’est un cancer qui se développe de manière progressive, et commence par l’apparition de lésions précancéreuses. La plupart de ces lésions sont causées par certains virus appartenant à la famille des papillomavirus.

Quels sont les facteurs de risque ?

Si les papillomavirus sont en grande partie responsables de m’apparition du cancer, il y a d’autres facteurs tout aussi importants à prendre en compte. Il y a notamment le tabagisme qui est à l’origine de plusieurs sortes de maladies, mais aussi le nombre conséquent de partenaires sexuels.

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La circoncision contre le cancer ?

La circoncision pourrait en effet être un moyen efficace pour réduire le risque du cancer du col de l’utérus. De plus, la circoncision est recommandée par de nombreux professionnels de la santé en termes d’hygiène.

La chlamydiae est-elle un facteur à risques ?

Avoir des antécédents d’infections transmissibles sexuellement accroit considérablement le risque d’être infecté par des papillomavirus humains. Ces derniers sont reconnus pour leur rôle sur le développement du cancer du col utérin, il est alors tout à fait possible qu’une chlamydiae soit un facteur à risque important.

Les ados mal informées

Les jeunes adolescentes sont les premières concernées par la possibilité de développer ce type de cancer. Cependant, la majorité d’entre elles connaissent mal ou pas du tout cette maladie ; encore moins leur intimité.

Beaucoup ne savent en effet que très peu de choses sur cette maladie, même si des vaccins ont été mis au point pour prévenir la propagation du fléau. Il n’en reste pas moins que les adolescentes sont nombreux à vouloir de plus amples informations sur un sujet qui les intéresse au premier degré

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